Au Canada, les statistiques montres qu’il y a de millions de personnes qui veulent le retour de la peine capitale. Ceci pose un problème. Le mot « capitale » vient du terme Latin « Capitalis » veuillent dire « ce qui a rapport au tête. Ainsi, un crime capital a été à l'origine puni en coupant la tête. Ça à été modifié par contre, les plus communs ayant été faites par la pendaison ou par injection létale. Mais veut-on vraiment la ramenée ? Aussi à cause des incertitudes de l'efficacité comme moyen de dissuasion.La peine de mort a été enlevée du Code criminel du Canada en 1976. Le gouvernement a décidé que ce n'était pas une peine appropriée à cause du risque de condamnations erronées.
Tout d’abord, il faut considérer les conséquences de la peine de mort. Quand quelqu’un est exécuté c’est tout, c’est fini, mort et aucune façon de le ramené. La façon d’ont William Brennan, ancien juge, le dit: “Death is not only an unusually severe punishment, unusual in its pain, in its finality and in its enormity, but it serves no penal purpose more effectively than a less severe punishment”. Autrement dit, une fois mort, t’es mort pour toujours. Alors demandons-nous ce qui arrivera si on trouve qu’un homme est mort injustement, qu’il n’a pas actuellement commis le crime? Dans ce cas, il n’y a pas de moyen de renversé jugement, tandis que si cette personne était tout simplement en prison, comme il devrait l’être, le libéré ne poserais aucune problème. Le risque des condamnations erronées est tout simplement trop haut.
Par ailleurs, la peine de mort n’est pas très efficace comme moyen de dissuasion. C’est absolument vrai ce que dit Albert Camus, écrivain et philosophe français : « La peine capitale ne saurait intimider d'abord celui qui ne sait pas qu'il va tuer, qui s'y décide en un moment et prépare son acte dans la fièvre ou l'idée fixe, ni celui qui, allant à un rendez-vous d'explication, emporte une arme pour effrayer l'infidèle ou l'adversaire et s'en sert alors qu'il ne voulait pas, ou ne croyait pas le vouloir. Depuis des siècles, la peine de mort, accompagnée souvent de sauvages raffinements, essaie de tenir tête au crime: le crime pourtant s'obstine.» C’est très apparent que la peine de mort ne fonctionne pas comme il le devrait. Quand il a été enlevé du Code criminel en 1976, la peine capitale a été remplacée par une peine obligatoire d'emprisonnement durant vingt-cinq ans pour un meurtre du premier degré et une période variant entre dix et vingt-cinq ans pour un meurtre de deuxième degré. Ceci est une méthode plus fonctionnelle et humaine. En les mettant en prison, nous donnons aux criminels la chance de voir le mal qu’ils ont causé et de changer leurs habitudes pour le retour à la société.
Bref, le gouvernement canadien a fait bien d’enlevé la peine capitale. Ca ne donne a rien et n’arrête pas la criminalité. Des sanctions moins sévère et abrupte comme l’emprisonnement sont beaucoup plus efficace et sécuritaire. En fin de compte, nous devrons espérer de ne jamais faire l’erreur de rétablir l’exécution comme peine pour des crimes sévères sinon des vies innocentes pourront être perdu a tout jamais.
Critique-La peine de mort
RépondreSupprimerLe texte la peine de mort supporte la thèse suivante. La peine de mort comporte trop de risque à cause de l’incertitude face à les condamnations erronées et elle est immorale en nature. L’introduction du texte est difficile à comprendre. Il serait important de spécifier de qui on parle quand on dit « ils » au début de la deuxième phrase pour que le lecteur puisse savoir de qui on parle, par exemple Le gouvernement canadien. Aussi l’utilisation d’une citation dans l’introduction peut parfois être utile, mais celle utilisée dans ce texte est trop longues. Elle enlève à la présentation du sujet, à la compréhension de la thèse et des sujets qui seront abordé lors du développement. Les citations présentées lors de l’introduction seraient mieux utilisées dans le corps d’un paragraphe de développement pour un argument qui porte sur l’inefficacité de la peine capitalle. De plus, on peut aussi reconnaitre un sujet amené au début de l’introduction plutôt qu’à la fin ce qui peut apporter une confusion. Le sujet amené que l’on peut distinguer lors de la 2ieme phrase est la suivante : «Ils ont décidé que ce n'était pas une peine appropriée à cause du risque des condamnations erronées et sur les incertitudes de l'efficacité comme moyen de dissuasion. » Je dirais que cette phrase pourrait être mise à la fin de l’introduction pour présenter deux bons sujets d’argumentation soit, les incertitudes de l’efficacité comme moyen de dissuasion et le risque des condamnations erronées. La manque de structure dans l’introduction assure un manque de compréhension pour le lecteur et n’incite pas les gens a continués la lecture de ce texte.
Le développement, tout comme l’introduction, manque de structure et de suite logiques des idées. Il manque tout d’abord un marqueur de relation pour débuter le paragraphe. L’auteur ne présente aucun fait lors de son développement, résultant dans une faiblesse de l’argument. Les phrases retrouvées dans le développement sont mal structurées pour la plupart, il y a encore une foi une confusion chez le lecteur. Les arguments abordés ne sont pas mauvais mais ils ne sont pas bien expliqués ou défendus lors du texte. On compte deux références d’autorité dans le premier paragraphe. Elles sont tout simplement mis dans le texte, on ne les utilise pas pour renforcir un argument et on n’explique pas pourquoi on a décidé d’inclure cette information. Le développement ne comporte aussi aucunes vraies fins. Les dernières phrases du paragraphe sont tout simplement des citations bibliques. Aussi, Ils y a aucune conclusion au paragraphe l’auteur ne renforci jamais sont point de vue en referment son idée. De plus, les citations bibliques ne sont pas des arguments forts, car elles présentent un conflit d’intérêt entre l’auteur et un lecteur de religion différente, ce qui peut mener à une difficulté face à la persuasion de son lecteur. La présence d’anglicismes constant lors du texte ont aussi affecté sa qualité en général car comme lecteur, j’ai du me reprendre plusieurs foi pour comprendre le sens de certaines phrases.
Finalement, le texte en général était difficile à comprendre et la conclusion était beaucoup trop courte elle ne présentait pas de synthèse des arguments ou même des solutions possibles à la situation présentée. Le manque de la conclusion et le fait qu’il n’y a aucun deuxième paragraphe de développement fait en sorte que le texte est faible. Le texte comprend alors un manque de crédibilité. Un développement contenant plusieurs arguments avec des sujet pertinent et des explications soutenue avec des faits et de phrase bien construite pourrait rendre ce texte intéressent et pertinent. Cependant, comme il est présenté le texte n’est pas bien construit et démontre un manque d’effort.
Jeff. S