vendredi 30 septembre 2011

La Peine Capitale

Au Canada, les statistiques montres qu’il y a de millions de personnes qui veulent le retour de la peine capitale. Ceci pose un problème. Le mot « capitale » vient du terme Latin « Capitalis » veuillent dire « ce qui a rapport au tête. Ainsi, un crime capital a été à l'origine puni en coupant la tête. Ça à été modifié par contre, les plus communs ayant été faites par la pendaison ou par injection létale. Mais veut-on vraiment la ramenée ?  Aussi à cause des incertitudes de l'efficacité comme moyen de dissuasion.La peine de mort a été enlevée du Code criminel du Canada en 1976. Le gouvernement a décidé que ce n'était pas une peine appropriée à cause du risque de condamnations erronées.


Tout d’abord, il faut considérer les conséquences de la peine de mort. Quand quelqu’un est exécuté c’est tout, c’est fini, mort et aucune façon de le ramené. La façon d’ont William Brennan, ancien juge, le dit: Death is not only an unusually severe punishment, unusual in its pain, in its finality and in its enormity, but it serves no penal purpose more effectively than a less severe punishment”. Autrement dit, une fois mort, t’es mort pour toujours. Alors demandons-nous ce qui arrivera si on trouve qu’un homme est mort injustement, qu’il n’a pas actuellement commis le crime? Dans ce cas, il n’y a pas de moyen de renversé jugement, tandis que si cette personne était tout simplement en prison, comme il devrait l’être, le libéré ne poserais aucune problème. Le risque des condamnations erronées est tout simplement trop haut.

Par ailleurs, la peine de mort n’est pas très efficace comme moyen de dissuasion. C’est absolument vrai ce que dit Albert Camus, écrivain et philosophe français : «  La peine capitale ne saurait intimider d'abord celui qui ne sait pas qu'il va tuer, qui s'y décide en un moment et prépare son acte dans la fièvre ou l'idée fixe, ni celui qui, allant à un rendez-vous d'explication, emporte une arme pour effrayer l'infidèle ou l'adversaire et s'en sert alors qu'il ne voulait pas, ou ne croyait pas le vouloir. Depuis des siècles, la peine de mort, accompagnée souvent de sauvages raffinements, essaie de tenir tête au crime: le crime pourtant s'obstine.» C’est très apparent que la peine de mort ne fonctionne pas comme il le devrait. Quand il a été enlevé du Code criminel en 1976, la peine capitale a été remplacée par une peine obligatoire d'emprisonnement durant vingt-cinq ans pour un meurtre du premier degré et une période variant entre dix et vingt-cinq ans pour un meurtre de deuxième degré. Ceci est une méthode plus fonctionnelle et humaine. En les mettant en prison, nous donnons aux criminels la chance de voir le mal qu’ils ont causé et de changer leurs habitudes pour le retour à la société.

Bref, le gouvernement canadien a fait bien d’enlevé la peine capitale. Ca ne donne a rien et n’arrête pas la criminalité. Des sanctions moins sévère et abrupte comme l’emprisonnement sont beaucoup plus efficace et sécuritaire. En fin de compte, nous devrons espérer de ne jamais faire l’erreur de rétablir l’exécution comme peine pour des crimes sévères sinon des vies innocentes pourront être perdu a tout jamais.